BACOUETTE
Bobo pour la bonne cause
La CFTC à eu 100 ans ! Et une semaine après, j’ai vraiment l’impression
d’avoir le même âge qu’elle… J’ai un de ces mal de dos !
Pourquoi je vous raconte ça ? Parce que ce qui m’arrive, c’est à cause du Congrès !
Imaginez.
Un Congrès Confédéral CFTC, c’est :
> 4 jours de sessions plénières en auditorium de 9h à 18h ;
> Des pauses matin et après-midi avec viennoiseries, cakes, cookies et autres douceurs ;
> 4 déjeuners très bons mais très riches ;
> Un dîner festif très… Festif !
> Un apéritif KLESIA gourmand et généreux.
Mais un Congrès Confédéral c’est aussi :
> 4 kg de « Goodies » logotés CFTC
> 1,5 kg d’objets publicitaires offerts par les partenaires
> 7,5 kg de brochures, guides, flyers, magazines, affiches et autres
lectures édifiantes sur la réforme de la formation professionnelle, la
Prévoyance, le CSE, les experts Santé et Sécurité au Travail, etc.
À ce stade, vous vous dites « Elle n’a pas seulement rapporter de
Marseille LA lombalgie du siècle, mais aussi le syndrome de la fameuse
sardine qui bloque à elle seule le vieux port !
PAS DU TOUT !
La CFTC des Agences de Voyages a beau être un petit syndicat, nous avons un joli nombre d’adhérents !
Alors le stylo CFTC Formation, le carnet de notes CFTC Logement, le
préservatif CFTC CSFV, la brosse à dent « la CFTC à 100 ans et toutes ses
dents », la boule anti-stress AG2R, les Stabilo ORSEU, le chiffon à
lunette CFTC ADSPL … je vous épargne la liste complète !?! Et bien on
essaie d’en prendre pour tout le monde – ou presque !
Et voilà comment, en quittant Marseille, le poids de ma valise avait
triplé, ce qui explique que, de retour à Paris, les seules choses que
j’arrive à vous raconter sur les coulisses du Congrès 2019 de Marseille,
se rapportent à mes douleurs dorsales intenses !
Bon, c’est promis, quand ça ira mieux, j’essaierai de vous raconter des
anecdotes plus intéressantes à propos de ce grand rassemblement des 100
ans de la CFTC.
Mais là, vraiment, je ne peux pas ! Je vais reprendre un antalgique et
me faire une tisane. C’est dur d’être syndicaliste parfois !
Ophélia Dufort
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